Echec scolaire : et si la rhinite allergique était en cause ?

Les allergies respiratoires se développent particulièrement au printemps : il s’agit généralement d’une rhinite allergique saisonnière aux pollens. Cette maladie peut s’avérer sévère, s’aggraver avec le temps, voire se transformer en asthme. Pour la combattre et prévenir les inconvénients, la rentrée est le moment idéal pour faire le plein de bonnes résolutions…
Si une grande partie des rhinites allergiques s’exprime plutôt en fin d’année scolaire et pénalise les jeunes à un moment crucial de leur scolarité, ces dernières font également leur retour dès la rentrée (rhinites allergiques à certains pollens tels que l’ambroisie, mais également aux acariens). D’où l’importance d’une prise en charge le plus en amont possible pour ne pas négliger leurs conséquences sur la scolarité.
Le Comité Français d’Observation des Allergies (CFOA) et la Fédération des Parents d’Elèves de l’Enseignement Public (PEEP) ont mesuré l’impact des allergies respiratoires (rhinite, conjonctivite, et asthme allergiques) sur la scolarité des jeunes allergiques, particulièrement pour ceux les plus sévèrement touchés.

Pour accéder aux résultats de l’enquête : www.comite-allergies.org



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