La 4e édition de Top Métier’92 fut une réussite. Pour preuve ce bilan chiffré :

28 318, le nombre de visiteurs qui se sont rendus à la 4e édition de Top Métier’92, du 5 au 7 mars au CNIT – La Défense.

5 500 élèves de 3e issus de 81 collèges ont bénéficié des journées réservés aux collégiens (jeudi et vendredi matin) et 22 345 personnes sont venues aux journées portes ouvertes (vendredi après-midi et samedi).

921 entretiens individuels ont été réalisés par les conseillers d’orientation-psychologues de l’Inspection académique des Hauts-de-Seine, et 3 981 badges coupe-file ont été pré-imprimés à partir du site www.topmetier92.fr. Sur ce site dédié, 27 788 visites ont été enregistrées et 135 643 pages ont été vues.

L’actualité du Conseil général  des Hauts-de-Seine est sur www.hauts-de-seine.net

Question de Nadine :
Thomas est âgé de 17 ans et passe son bac en juin prochain. Actuellement il est en internat à Vendome (41), mais réside à Chelles (77) le reste du temps. Il veut devenir journaliste sportif. Que peut-il faire à la rentrée 2009/2010 avant d’intégrer une école de journalisme ? Si possible sur Paris Ile de France ? Merci. Lire la suite »

Contexte oblige, curiosphere.tv en partenariat avec l’Etudiant, réalise un focus sur les métiers qui seront épargnés par la crise. Face au retournement brutal de la situation économique mondiale, force est de s’interroger sur les débouchés pour ceux qui entrent demain sur le marché du travail. Certains secteurs seront sans doute plus touchés que d’autres, les plus fortes répercutions étant probables sur les banques d’investissement, l’immobilier et l’automobile. Même s’il est encore difficile d’anticiper l’ampleur de l’onde de propagation sur les autres secteurs, voici ceux qui pourraient être épargnés de l’avis de trois recruteurs : Wilhelm Laligant, Philippe Vidal, fondateur du cabinet de recrutement Vidal Associates et Alexandre Groux, directeur exécutif de Page Personnel, filiale de Michael Page spécialisée dans l’intérim et le recrutement spécialisé.
– Construction et grande distrib’ : (presque) comme si de rien n’était
РEnergies renouvelables et sant̩ : des besoins toujours importants
РAudit, conseil et banques de d̩tail : pas si mal en point
– Fonctions transversales : les up et les down

Article de Jean-Marc Engelhard à consulter sur : www.curiosphere.tv/ressource/21716-filieres/page_url=/html/crise.cfm

Le 25 février, le journal La Croix consacrait un dossier aux universités qui entendent guider leurs étudiants vers l’emploi : une petite révolution ! En effet, la loi sur l’autonomie a donné aux universités une mission d’insertion professionnelle. Chaque université est désormais tenue de créer un « bureau d’aide à l’insertion professionnelle des étudiants ».
L’université ? Loin du marché du travail ! La situation, cependant, est en train d’évoluer. Non seulement parce que les jeunes eux-mêmes sont inquiets pour leur avenir et s’interrogent sur la valeur de leurs diplômes, comme l’a montré il y a trois ans la crise anti-CPE. Mais aussi parce qu’en plus de la formation et de la recherche, la toujours très contestée loi sur l’autonomie (pour la première fois, la semaine dernière, la Coordination nationale des universités a demandé son abrogation), votée l’an dernier, assigne officiellement à l’université une troisième mission : l’orientation et l’insertion professionnelle. Chaque établissement est notamment tenu de créer un « bureau d’aide à l’insertion professionnelle des étudiants », chargé de diffuser les offres de stages et d’emplois, ou encore d’accompagner les jeunes dans leur recherche.

Extrait d’article de Denis Peiron paru dans La Croix le 25 février 2009.